Présentation du projet SecundOS :
Fidèle à sa mission d'aide à la Recherche, le Fonds Yvonne Boël poursuit assidûment les objectifs définis lors de sa création.
Ces dernières années, la prévention et la lutte contre les facteurs de risque ont permis de réduire l’incidence de certains cancers, il n'en reste pas moins que parmi les difficultés rencontrées, il y a toujours la pertinence du choix d'un traitement adapté aux spécificités propres à chaque patient.
Le Fonds Yvonne Boël participe au projet-pilote « SecundOS » initié par le Professeur Isabelle Salmon, Chef de service du Laboratoire d'Anatomie-Pathologique de l'Hôpital Erasme.
La contribution de l’Anatomopathologiste étant déterminante tant dans l’approche diagnostique que thérapeutique du cancer, la mise en place d'un réseau de Pathologie virtuelle concoure à l’amélioration de la prise en charge du patient.
Le schéma de départ était simple :
Confronté à un prélèvement inhabituel (notamment en présence de cancers rares), le Pathologiste isolé d'un laboratoire périphérique a besoin d’obtenir la confirmation de son diagnostic par ses pairs.
Si un réseau de Pathologie « en ligne » existe entre son laboratoire et un laboratoire académique de référence regroupant des Pathologistes spécialisés, il peut leur demander un « second avis » plus rapidement et plus sûrement que par la voie postale habituellement empruntée.
La finalité de cette étude était d'évaluer objectivement l'apport d'un tel réseau et d'élaborer ensuite un plan d'extension de cette application au plus grand nombre de laboratoires.
L’étude de faisabilité a démarré en janvier 2015. Après une phase de tests début 2016, les premiers échanges d’images de lames ont été effectués avec succès vers la fin de 2016.
Les résultats probants de l’étude de faisabilité ont entraîné la validation du système.
L’outil développé pour la plate-forme « SecundOS » est actuellement fonctionnel et permet d’effectuer à distance, dans les meilleures conditions de rapidité et de sécurité, les analyses de cas pathologiques.
Le nouveau projet du Professeur Isabelle Salmon, baptisé « SecundOS Version 2 », vise à intégrer la boucle d’Intelligence Artificielle (IA) à la plateforme « SecundOS » (Réseau de pathologie digitale dont la faisabilité a été étudiée et développée précédemment).
Il se fonde sur les acquis des projets de recherche antérieurs soutenus par le Fonds Yvonne Boël depuis une vingtaine d’années. Il s’agit d’intégrer maintenant ces outils de quantification au flux des tâches effectuées par l’Anatomo-pathologiste pour poser un diagnostic de routine.
La plateforme de pathologie digitale alliée à une application de l’intelligence artificielle permettra d’accroître et d’améliorer la précision et la rapidité du diagnostic posé par les médecins pathologistes.
Un traitement personnalisé impose notamment le recours aux biomarqueurs oncologiques. Ceux-ci fournissent au médecin une aide à la décision thérapeutique. Facilement utilisables dans la pratique hospitalière quotidienne, ils peuvent être régulièrement « réactualisés » auprès du malade.
Actuellement, des biomarqueurs spécifiques à un certain nombre de cancers ont déjà été trouvés. Certains sont utilisés mais d'autres sont encore en phase de vérification ou d’approfondissement.
L’identification de nouveaux marqueurs prédictifs en Oncologie et leur développement reste une priorité pour le Fonds Yvonne Boël.
Ces dernières années, la prévention et la lutte contre les facteurs de risque ont permis de réduire l’incidence de certains cancers, il n'en reste pas moins que parmi les difficultés rencontrées, il y a toujours la pertinence du choix d'un traitement adapté aux spécificités propres à chaque patient.
Le Fonds Yvonne Boël participe au projet-pilote « SecundOS » initié par le Professeur Isabelle Salmon, Chef de service du Laboratoire d'Anatomie-Pathologique de l'Hôpital Erasme.
La contribution de l’Anatomopathologiste étant déterminante tant dans l’approche diagnostique que thérapeutique du cancer, la mise en place d'un réseau de Pathologie virtuelle concoure à l’amélioration de la prise en charge du patient.
Le schéma de départ était simple :
Confronté à un prélèvement inhabituel (notamment en présence de cancers rares), le Pathologiste isolé d'un laboratoire périphérique a besoin d’obtenir la confirmation de son diagnostic par ses pairs.
Si un réseau de Pathologie « en ligne » existe entre son laboratoire et un laboratoire académique de référence regroupant des Pathologistes spécialisés, il peut leur demander un « second avis » plus rapidement et plus sûrement que par la voie postale habituellement empruntée.
La finalité de cette étude était d'évaluer objectivement l'apport d'un tel réseau et d'élaborer ensuite un plan d'extension de cette application au plus grand nombre de laboratoires.
L’étude de faisabilité a démarré en janvier 2015. Après une phase de tests début 2016, les premiers échanges d’images de lames ont été effectués avec succès vers la fin de 2016.
Les résultats probants de l’étude de faisabilité ont entraîné la validation du système.
L’outil développé pour la plate-forme « SecundOS » est actuellement fonctionnel et permet d’effectuer à distance, dans les meilleures conditions de rapidité et de sécurité, les analyses de cas pathologiques.
Le nouveau projet du Professeur Isabelle Salmon, baptisé « SecundOS Version 2 », vise à intégrer la boucle d’Intelligence Artificielle (IA) à la plateforme « SecundOS » (Réseau de pathologie digitale dont la faisabilité a été étudiée et développée précédemment).
Il se fonde sur les acquis des projets de recherche antérieurs soutenus par le Fonds Yvonne Boël depuis une vingtaine d’années. Il s’agit d’intégrer maintenant ces outils de quantification au flux des tâches effectuées par l’Anatomo-pathologiste pour poser un diagnostic de routine.
La plateforme de pathologie digitale alliée à une application de l’intelligence artificielle permettra d’accroître et d’améliorer la précision et la rapidité du diagnostic posé par les médecins pathologistes.
Un traitement personnalisé impose notamment le recours aux biomarqueurs oncologiques. Ceux-ci fournissent au médecin une aide à la décision thérapeutique. Facilement utilisables dans la pratique hospitalière quotidienne, ils peuvent être régulièrement « réactualisés » auprès du malade.
Actuellement, des biomarqueurs spécifiques à un certain nombre de cancers ont déjà été trouvés. Certains sont utilisés mais d'autres sont encore en phase de vérification ou d’approfondissement.
L’identification de nouveaux marqueurs prédictifs en Oncologie et leur développement reste une priorité pour le Fonds Yvonne Boël.